Le tableau est au centre de tout dispositif numérique d’enseignement/formation mais c’est l’interaction qui change la relation entre apprenants et enseignant en conjuguant technologie et logiciel applicatif. Photo : Smart
Qu’il soit constitué d’une surface blanche éclairée par un vidéoprojecteur ou d’une grande LCD, ce qui fait l’intérêt d’un tableau interactif, c’est évidemment son….interactivité. Ce terme s’illustre d’abord par la façon dont le formateur écrit avec son doigt, son stylet électronique ou affiche des images fixes, des dessins ou des vidéos dans des fenêtres créées d’un toucher de main ou d’un clic de souris.
Mais il évoque aussi comment l’auditoire peut agir sur l’affichage en intervenant à plusieurs au tableau ou par le biais d’une tablette ou d’un PC portable… ce qui, dès lors, suppose un arbitrage du « maître » de la session pour sélectionner la source ou en associer plusieurs en mode collaboratif. Le tableau doit donc disposer d’un organe de commande tactile ou par détection de mouvements. Il doit aussi être asservi à un logiciel de pilotage qui commande les différents modes d’utilisation et gère l’accès aux contenus, sur site ou en ligne. Plusieurs technologies sont disponibles, avec, pour chacune, des avantages et des inconvénients. La suite de cet article est réservée aux abonnés.
Il s’agit d’un extrait du dossier spécial « e-Education » à lire dans le numéro 9 de HABITAT & TECHNOLOGIES à paraître fin septembre. Pour vous abonner, cliquez sur ce lien.
Au sommaire :
– LE MARCHE : le tableau blanc interactif passe en classe supérieure
– LA TECHNOLOGIE : l‘interaction sinon rien !
– LES SOLUTIONS : les produits phares
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