
Le superviseur domotique entièrement paramétrable et multi-protocoles, Lifedomus, certainement l’un des plus aboutis du marché, a inauguré il y quelques mois sa version tertiaire baptisée Lifebuilding.
En tant que système d’exploitation, Lifedomus aurait très bien pu être installé sous Windows et/ou sous Mac. Un choix qui n’a pas été retenu explique Romain Courrier, responsable grands comptes chez Lifedomus, « car nous aurions démultiplié les problèmes dus par exemple à une bibliothèque ou au PC lui-même. En ayant la main sur le serveur, nous nous assurons de la qualité de livraison de notre produit. » De fait, seuls des problèmes de configuration et des rapports de bugs sont remontés, mais aucun problème matériel n’a été signalé. Côté hardware, le choix d’un mini-serveur NUC, pour les gammes résidentielles Sense et Vision, a été motivé par le bon rapport qualité/prix de ce produit, sa puissance de calcul, son couple mémoire/processeur, sa robustesse (disque dur SSD), son format compact et la présence d’une ventilation.
Hardware rackable
En revanche, à l’arrivée des premiers gros chantiers tertiaires, le sous-dimensionnement du NUC s’est vite révélé. « Nous avons simplement calibré un hardware physique rackable avec Lifedomus OS, notamment en utilisant des processeurs quad-core avec un minimum de 8 Go de RAM sachant que tous ceux qui ont été livrés jusqu’à présent embarquent 16 Go de RAM », précise Romain Courrier qui ajoute que « la version tertiaire embarque toute la technologie Lifedomus par défaut. » Aujourd’hui, Lifebuilding est en place sur une dizaine de sites dont le centre Pompidou de Metz, l’hôtel 4 étoiles Saint-Antoine à Rennes et une autre résidence hôtelière sur la côte Ouest…

La suite de cet article est réservée aux abonnés. Profitez-en, abonnez-vous! A lire dans le n°22 de SMART INTEGRATIONS MAG à paraître mi-janvier 2017.
Soyez le premier à commenter