
Le monitoring et la télémaintenance du logis, du commerce ou du bureau connecté et intelligent offrent-ils des perspectives de croissance de chiffre d’affaires aux installateurs / intégrateurs ? La technologie le permet mais l’équation économique est loin d’être évidente.
Qui dit smart home et smart building dit capacité à commander et à contrôler le système in situ et à distance. L’étape suivante qui se dessine est de disposer d’un tableau de bord complet qui donne l’état en temps réel d’une installation et alerte l’utilisateur en cas de dégradation des paramètres nominaux avec, pour finalité, la capacité pour un intervenant extérieur de diagnostiquer précisément l’objet de la défaillance, de dialoguer avec le client pour lui donner des consignes correctives ou de décider d’envoyer un dépanneur avec la pièce dont on sait assurément qu’elle doit être remplacée.

Ce scénario n’est déjà plus un rêve dans l’industrie ou le grand tertiaire qui sont depuis de nombreuses années sous la surveillance constante d’agents généralement délégués par de grands prestataires de services qui ont la main sur tout ou partie des installations de chauffage, climatisation, sécurité et sûreté, éclairage, réseau informatique, etc. De plus en plus souvent, ces prestations de monitoring et d’administration – au sens technique du terme – sont d’ailleurs régies par des contrats d’objectifs qui visent à maîtriser ou à réduire les frais d’exploitation et les dépenses d’énergies, donc les charges des entreprises…
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