
Le lancement en France du service américain de vidéo à la demande par abonnement va peut être rebattre les cartes de la télévision payante mais c’est aussi une opportunité à saisir pour les professionnels de l’équipement audiovisuel domestique.
Le service de S-VoD Netflix a été officiellement lancé lundi 15 septembre au cours d’une soirée festive réservée aux « grands médias » et autres « influenceurs » c’est-à-dire interdite à la presse spécialisée notamment technique.
Autant dire qu’il s’est agi d’une vaste opération de communication marketing et non d’une session d’information avec questions (gênantes !) et réponses qui auraient permis d’avoir des données officielles sur ce « produit » lancé finalement comme une vulgaire lessive. Netflix fait déjà beaucoup parler car il fait craindre un tsunami dans le paysage audiovisuel français barricadé derrière sa réglementation, ses quotas, ses taxes et ses mécanismes de financement de la création.
Difficile de défendre l’exception culturelle – et le business qui va avec – dans un monde globalisé par l’abaissement des protections douanières mais aussi par un vecteur qui ignore superbement les frontières : Internet…
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