
Sensibilité, débit… Comme toute nouveauté, la vidéoprotection en mode 4K soulève de nombreux problèmes qui dépendent pour beaucoup du contexte d’installation et d’utilisation.
La 4K colonise peu à peu tous les milieux professionnels : affichage dynamique, broadcast, réception et distribution vidéo… et bien sûr, la vidéoprotection, depuis que les premières caméras compatibles ont fait leur apparition il y a environ 2 ans. Comme toujours en matière de technologie, il y a un délai plus ou moins long entre l’annonce d’une technologie innovante – ou prétendue comme tel – et son application concrète sur le terrain. Il en va de même avec la vidéoprotection 4K : les premières réalisations exploitant l’ultra haute définition n’affleurent que cette année.
C’est le cas de cette grande ville, dépourvue jusqu’alors de système de vidéoprotection et dont nous taisons le nom par souci de confidentialité. Le cahier des charges, rédigé avec l’assistance de l’AN2V (Association nationale de la vidéoprotection), imposait l’utilisation de la 4K et l’appel d’offres a été remporté par le groupe SNEF. L’installation est opérationnelle depuis mi-juillet et comporte pour le moment deux références de caméras de la marque Axis : «La Q6000, un modèle multi-objectifs à 360° et équipée de 4 capteurs de 2 millions de pixels ; et la P1428-E, un modèle « bullet » 4K, décrit Vivien Baczkiewicz, chargé d’affaires Vidéoprotection et Ville intelligente au sein de SNEF.
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