Porté par la puissance d’impact de l’image numérique l’affichage dynamique poursuit sa progression dans presque tous les domaines tout en abordant de nouveaux champs d’application prometteurs.
Au fur et à mesure de son expansion, le marché de l’affichage numérique se segmente en catégories de plus en plus nombreuses ce qui ouvre des opportunités à plusieurs types d’acteurs : installateurs d’équipements, créateurs de contenus, exploitant du média en tant que support publicitaire et maintenant développeurs d’application interactives. Tout semble possible et le mélange des genres est loin de clarifier la situation.
Une seule chose doit être évidente pour nos lecteurs : exclus des déploiements massifs, captés par des entreprises de taille conséquente concédant éventuellement de la sous-traitance, les installateurs/intégrateurs qui s’adressent en priorité aux commerçants de proximité, aux structures publiques ou aux bailleurs sociaux ou non (l’affichage numérique investit maintenant les halls d’école et d’immeuble) doivent élargir leur palette de prestations vers les services pour s’assurer le marché au delà de la vente et de la pose du matériel. Ce qui suppose évidemment de faire évoluer le métier.
Confusion des chiffres
Mais revenons au marché. Il devient difficile d’énoncer des chiffres et des prévisions tant les données sont nombreuses et discutables. Sur son site internet www.affichage-dynamique-facile.com, Léo Saluden, spécialiste en marketing et en gestion de projets (Image & Informatique à Alençon) explique bien la confusion qui règne parmi les sources possibles : concurrence entre les sociétés d’études qui monnayent leur travail, méthodologies divergentes, travaux d’enquête « sponsorisés » par des acteurs impliqués dans le marché.
La suite de cet article, qui fait partie de notre dossier « Affichage dynamique » est réservée aux abonnés. Profitez-en, abonnez-vous! A lire dans le n°16 de HABITAT & TECHNOLOGIES à paraître fin janvier 2016
Soyez le premier à commenter