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L’heure est aux économies d’énergie dans le résidentiel collectif et la lumière est l’un des domaines où il est le plus aisé d’agir car la technologie facilite les choses.
Les éclairages des parties communes d’immeuble sont depuis longtemps sous temporisation. On a d’abord utilisé des minuteurs électromécaniques dont le bruit de crécelle égrène le temps qui passe au gré des réglages manuels épisodiques de l’électricien ou du gardien. Problème : ces équipements se dérèglent, tombent souvent et irrémédiablement en panne et doivent être remplacés. Surtout, chaque minuteur gère en général un groupe de points d’éclairage qui demeurent allumés durant la période programmée même si la personne concernée a quitté les lieux. La détection de mouvement a amélioré la situation mais un capteur peut aussi piloter plusieurs luminaires connectés sur la même ligne et peut être trompé par l’attitude statique d’une personne attendant l’ascenseur : rien de plus stupide que de gesticuler dans l’axe du faisceau pour rallumer la lumière subitement éteinte à l’expiration de son délai de temporisation. Par ailleurs, les personnes en charge de l’éclairage ignorent souvent qu’un capteur de mouvement est souvent équipé d’une cellule qui détecte la lumière du jour pour limiter de l’allumage aux seules périodes nocturnes.
L’impact des LEDs
L’arrivée des LEDs a changé radicalement la donne en matière d’éclairage des parties communes, même si, au début, le prix et la durée de vie de certains produits ont refroidi les ardeurs de changement. Heureusement, ces dernières années, la facture baisse et les nouvelles ampoules résistent mieux aux multiples allumages/extinctions dans les halls et couloirs à forte fréquentation..
La suite de cet article, à lire dans le n°20 de SMART INTEGRATIONS MAG à paraître fin septembre, est réservée aux abonnés. Pour vous abonner cliquez ici.
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