Le SNIDA, le Syndicat National des Installateurs en Distribution Audiovisuelle et réseaux de communication électronique, créé en 1966, change de nom pour devenir S2I Courant Faible.
Ce changement de nom s’inscrit dans le sillage de la convergence technologique et son corollaire, la convergence des métiers. C’était un exercice imposé pour le syndicat historiquement dirigé vers les métiers de l’antenne puis de la distribution audiovisuelle.
En optant pour l’appellation S2I Courant Faible (Syndicat des Intégrateurs installateurs courant faible), Ronald Heller, son président, intègre une indispensable dimension d’ingénierie et d’informatique dans le nom de l’organisation tout en élargissant sont champ de compétence à l’ensemble des métiers des courants faibles. L’idée étant de rompre avec l’image d’un syndicat cantonné à la seule profession d’antenniste.
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Dorénavant, S2I Courant Faible revendique la représentation d’un ensemble de métiers : Installation/intégration d’antennes de télévision satellite et terrestre, réseaux communicants, FTTH (Fibre Optique), Domotique, Interphonie, Contrôle d’accès, Vidéosurveillance, Téléphonie, Audiovisuel Multimédia et sonorisation, IPTV, Signalétique…
Le syndicat qui représente déjà ces professions auprès des autorités de régulation et des organismes de certification (CSA, Anfr, Arcep, Qualifelec, Cosael, Q2C…) va s’atteler à un ambitieux chantier : définir une convention collective applicable aux métiers des courants faibles.
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